La littérature africaine est perpétuellement à la recherche de nouvelles scripturaires. D’où le recourt de certains écrivains aux ressources de la tradition africaine telles que la magie comme matériau de création. L’auteur de On a giflé la montagne ! s'inscrit dans cette perspective. C'est pourquoi une méthode d'analyse telle que la poétique magique qui s'annonce comme un nouvel exercice critique littéraire peut interroger aisément son roman .L' objectif principal du président article consiste entre autres à attester que les
pratiques magiques sont véritablement un fond culturel africain qu' on retrouve dans l'œuvre soumise à notre réflexion d'une part et d'autre part dans quelle typologie du romanesque magique africain peut-on classer ce roman sans oublier de mettre en exergue la triade magique du étudié afin de permettre à l'opinion d'ici et d'ailleurs de
mieux appréhender cette nouvelle poétique magique qui s'annonce comme un nouvel outil d'interprétation et d'évaluation du roman.

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