Au Burkina Faso, les artistes peinent à s’intégrer dans le milieu socioprofessionnel. Les raisons sont multiples et nous pouvons en citer, par exemple, leur niveau d’étude, le manque d’une bonne formation et la non-prise en compte véritable de l’activité musicale par les gouvernants. Une bonne formation, en attendant le soutien des services publics, c’est ce qu’il faut aux artistes pour espérer se faire une place dans l’univers socioprofessionnel du pays. En tout cas, c’est ce que le Centre de formation musicale ‘’La Dernière Trompette’’ nous démontre. Nous voulons montrer à travers cet article la manière dont ce centre privé de formation procède pour arriver à fabriquer des artistes qui ont toujours du travail à faire et les retombées que le pays en tire.
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