Cet article examine l’utilisation des dispositifs narratifs du folklore africain dans les pièces de
théâtres, The Hot Chair (2010), Murder of the Surgical Bone (2010) et The Prisoner (2021) de Faustina
Brew à travers le prisme de l’approche postcoloniale. L'analyse révèle que Brew utilise des procédés
narratifs, notamment des proverbes, des expressions idiomatiques, des jeux de mots, des chansons et des
interjections, comme moyens de transmission de son message aux lecteurs de ses pièces de théâtres.
Grâce à l’utilisation de ces procédés narratifs, l’auteur non seulement valorise les valeurs culturelles et
l’identité africaine mais elle les utilise également comme moyen de résistance et de résilience face à l’invasion de la culture occidentale. Ce faisant, Brew préserve et perpétue l’héritage culturel africain en
termes d’utilisation de la langue pour la génération future d’écrivains.

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